On dirait aujourd’hui que le conseil municipal a formé ses commissions. Il détermine également l’étendue et les limites de leurs délégations de pouvoirs.
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14e siècle
Articles
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1332 - Saint-Jean d’Angély - Nomination de 8 élus pour gérer les affaires de la ville
19 avril 2008, par Pierre -
1334 - 1354 - Un triste sire : Renaud de Pressigny, seigneur de Marans
31 mai 2013, par ChristianNos provinces ne peuvent se flatter de criminels aussi flamboyants que Gilles de Rais ou le « boucher Clisson ». Elles n’ont à proposer que de purs « vilains », sans hauts faits d’armes à leur actif : le rôle pourrait être tenu en Saintonge par le sous-sénéchal Arnau Caillau, Bordelais au service des Anglais, et en Aunis par Renaud de Pressigny, seigneur de Marans. Ce tyranneau local, haut justicier qui commet des crimes « sous ombre de la justice » est-il « plus coupable que d’autres » ?
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1335 - Didonne (17) - Un jeu entre amis tourne mal ; préméditation ou accident ? la justice enquête
4 juillet 2008, par PierreLa Guerre de Cent Ans est proche. Didonne est sous la juridiction du Soudan de Latran, un personnage qui fera beaucoup parler de lui sous la domination anglaise, parce qu’il contrôle la navigation dans l’estuaire de la Gironde et choisit le camp des Anglais. Une rixe entre deux amis tourne mal et Guyot de Maurin est occis d’un coup de couteau. L’enquête doit déterminer s’il y a eu préméditation ou non.
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1345 - 1355 - Campagnes des Anglais dans les provinces de l’Ouest.
24 avril 2009, par PierreDenis d’Aussy nous emmène dans un examen précis et détaillé des chroniques du temps de la Guerre de Cent Ans (principalement celles de Froissart), pendant 10 années d’une période où les gens de guerre, incontrôlés, pillent et repillent les provinces de Saintonge, d’Aunis et d’Angoumois. Il ne faisait pas bon vivre en cette sombre époque.
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1345 - 1369 - La Guerre de Cent Ans en Saintonge et en Angoumois, dans une chronique normande
3 avril 2012, par PierreUne chronique normande anonyme du XIVe siècle raconte plusieurs épisodes de la Guerre de Cent Ans en Angoumois, Saintonge et Aunis. Ce document permet de recouper les Chroniques de Froissart, qui relate les mêmes évènements, mais avec des détails différents.
Nous publions ici les extraits de cette chronique qui parlent de ces provinces. -
1346 - la chevauchée de Derby en Poitou et Saintonge
15 juin 2012, par ChristianMené en septembre-octobre 1346, ce raid fut sans doute la première opération d’envergure qu’aient conduite les Anglais dans notre région depuis 1337. En tout cas, il frappa suffisamment de terreur pour déterminer plusieurs places menacées à se rendre sans délai. On donne ici deux versions : celle de Denifle, qui s’intéresse avant tout aux établissements religieux, et celle de Bertrandy, plus détaillée. Tous deux corrigent Froissart (cf. 1346 - Saint-Jean d’Angély se rend au comte de Derby, anglais) en s’appuyant sur le récit fait par Derby lui-même, dans une lettre envoyée de Saint-Jean-d’Angély (et déjà reproduite en note dans l’article Les Anglais assiègent Angoulême - Chronique de Froissart).
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1346 - Les Anglais assiègent Angoulême - Chronique de Froissart
18 novembre 2008, par PierreUn épisode des premières années de la Guerre de Cent Ans. Avec Froissart, il y a du mouvement. Par moments, on ne sait plus très bien qui est avec les Anglais, et qui est contre !
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1346 - Saint-Jean d’Angély se rend au comte de Derby, anglais
31 janvier 2008, par RazineSi furent durement effrayés quand ils virent tant d’anglois devant leur ville, et qui leur livrèrent de première venue un très grand assaut ; et doutèrent à perdre corps et biens, femmes et enfants, car il ne leur apparoit secours ni confort de nul côté
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1346-1380 : la grande pitié des diocèses de Saintes et d’Angoulême pendant la guerre de Cent ans (II)
20 juin 2012, par ChristianDans ce deuxième ouvrage, en deux volumes et quelque 860 pages, le P. Henri Denifle revient en arrière pour couvrir toute la période allant jusqu’à la mort de Charles V. Il entre cette fois dans le détail des événements militaires et consacre de nombreuses pages aux exactions des Compagnies de routiers mais, s’agissant de nos trois provinces, la moisson est relativement mince sur ces deux sujets. En revanche, comme le précédent livre (1418-1453 : la grande pitié des diocèses d’Angoulême et de Saintes pendant la guerre de Cent Ans (I)), celui-ci est sans équivalent pour les trois passages qui énumèrent les établissements religieux dévastés au cours de cette quarantaine d’années.
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1350 (c) - Saint Eutrope de Saintes (17) était-il le patron des pendus ?
22 mars 2010, par PierreDe tous temps, les pèlerins ont aimé rapporter des souvenirs de leur voyage. Les médailles sont tout particulièrement prisées. Plusieurs ont été retrouvées à Paris, dans le lit de la Seine. Celle décrite ici soulève plus de questions qu’elle n’apporte de réponses. Pourquoi, dans l’imagerie populaire du XIVe siècle, saint Eutrope de Saintes était-il associé à un pendu et à son gibet ?
L’abbé Lacurie écrit ne connaître aucun évènement justifiant cette association d’idées.
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