Dans un long document, Edouard Sénemaud, archiviste méthodique, publie un inventaire des terres et fiefs dressé de 1612 à 1640 par Jean Mesneau, chanoine de la cathédrale d’Angoulême. Puis il prolonge la succession des propriétaires jusqu’à la Révolution, à partir de documents tirés de la série G des Archives Départementales de la Charente.
On regrette que les cotes de ces documents ne soient pas mentionnées, car cet inventaire aurait pu constituer une très solide base de recherche. Mais l’ensemble mérite la visite.
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16 Rouffiac
Articles
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1612 - 1789 - Terres et fiefs relevant de l’Evêché d’Angoulême - 3ème partie
1er août 2009, par Pierre -
1789 - Rouffiac (16) : cahier de doléances de la paroisse
9 juillet 2008, par PierreRouffiac d’Aubeterre, ancienne commune du canton d’Aubeterre réunie depuis 1850 à celle de Saint-Martial, même canton. En 1789, sénéchaussée et élection d’Angoulême, marquisat d’Aubeterre, diocèse de Périgueux. — Sur sa situation économique, voir une notice inédite de 1744 (Arch. dep. Charente, C 236). — Paye, en 1789, 1,105 livres de taille, 900 livres d’accessoires, 615 livres de capitation. 648 livres de vingtièmes. Source : Cahiers de (...)
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1806 - Charente - Les dates de toutes les foires
7 mars 2007, par PierreSous l’Empire, époque de centralisation et de statistiques, le préfet valide la liste des 88 lieux et toutes les dates des foires du département de la Charente. Lettres patentes nouveau style ...
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La dissémination du toponyme "Charmant"
16 novembre 2012, par ChristianOn sait que le marquis d’Arpajon en Gévaudan a obtenu en 1720 de donner son nom à sa nouvelle terre de Châtres-sous-Montlhéry (aujourd’hui dans l’Essonne), ou que Couhé-Vérac, hors de la zone des toponymes en « -ac », a vu son nom complété en 1652 lorsque la terre de Couhé a été érigée en marquisat au bénéfice d’Olivier de Saint-Georges, seigneur de Vérac. Il s’agirait ici de démontrer que Bois-Charmant procède d’un transfert similaire, opéré à la suite d’un mariage. En suivant un toponyme « baladeur », nous serons ainsi reconduits des Nouillers à Cognac intra muros, puis, de façon un peu moins certaine, au Charmant de la châtellenie de Villebois, au sud d’Angoulême.