Dès 1640, quand la France commença à s’installer durablement dans les Antilles, l’émigration coloniale se répartit entre ses Iles et le Canada. L’attrait pour les Antilles attira 10 fois plus d’hommes que la Nouvelle France. Les protestants vinrent s’ajouter en masse à ce flot migratoire suite aux persécutions et à la révocation de l’Edit de Nantes (en 1685). La région fournit de nombreux postulants au départ qu’il soit volontaire ou forcé.
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Emigrés
Articles
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1640 - 1715 - L’émigration de charentais aux Antilles sous Louis XIV
29 janvier 2016, par Razine -
1707-1727 : L’Angleterre secourt les protestants français réfugiés sur son sol
11 novembre 2018, par ChristianAprès la révocation de l’édit de Nantes, sur les 200 000 protestants qui émigrèrent, 40 000 à 50 000 se réfugièrent outre-Manche. Pour secourir les plus nécessiteux, les Anglais organisèrent plusieurs collectes qui rapportèrent 200 000 livres sterling. Placée dans un fonds, cette somme fut distribuée sur une durée de quarante ans, semble-t-il. La commission qui s’en occupa, dénommée « Committé françois », rendit compte assez régulièrement à partir de 1703 de la répartition au (...)
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1792-1793 - Les émigrés de Saintonge, Aunis, Angoumois et Poitou (A-B-C-D)
28 novembre 2017, par PierreNobles, prêtres et roturiers, considérés comme traîtres à la patrie, ils furent environ 150.000 à quitter la France pendant la révolution. Ne pouvant être pourchassés à l’étranger où ils avaient trouvé refuge, ces émigrés virent leurs biens saisis et parfois vendus "nationalement" et leurs noms furent consignés dans des listes infamantes. Après la Terreur, la législation autorise leur retour en France à condition d’obtenir leur radiation de ces listes.
Nous présentons ici, par (...) -
1792-1793 - Les émigrés de Saintonge, Aunis, Angoumois et Poitou (E-F-G-H-I-J)
28 décembre 2017, par PierreNobles, prêtres et roturiers, considérés comme traîtres à la patrie, ils furent environ 150.000 à quitter la France pendant la révolution. Ne pouvant être pourchassés à l’étranger où ils avaient trouvé refuge, ces émigrés virent leurs biens saisis et parfois vendus "nationalement" et leurs noms furent consignés dans des listes infamantes. Après la Terreur, la législation autorise leur retour en France à condition d’obtenir leur radiation de ces listes.
Nous présentons ici, par (...) -
1792-1793 - Les émigrés de Saintonge, Aunis, Angoumois et Poitou (L-M-N-O)
16 février 2018, par PierreNobles, prêtres et roturiers, considérés comme traîtres à la patrie, ils furent environ 150.000 à quitter la France pendant la révolution. Ne pouvant être pourchassés à l’étranger où ils avaient trouvé refuge, ces émigrés virent leurs biens saisis et parfois vendus "nationalement" et leurs noms furent consignés dans des listes infamantes. Après la Terreur, la législation autorise leur retour en France à condition d’obtenir leur radiation de ces listes.
Nous présentons ici, par (...) -
1792-1793 - Les émigrés de Saintonge, Aunis, Angoumois et Poitou (P-Q-R)
15 août 2018, par PierreNobles, prêtres et roturiers, considérés comme traîtres à la patrie, ils furent environ 150.000 à quitter la France pendant la révolution. Ne pouvant être pourchassés à l’étranger où ils avaient trouvé refuge, ces émigrés virent leurs biens saisis et parfois vendus "nationalement" et leurs noms furent consignés dans des listes infamantes. Après la Terreur, la législation autorise leur retour en France à condition d’obtenir leur radiation de ces listes.
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1792-1793 - Les émigrés de Saintonge, Aunis, Angoumois et Poitou (S à Z)
16 août 2018, par PierreNobles, prêtres et roturiers, considérés comme traîtres à la patrie, ils furent environ 150.000 à quitter la France pendant la révolution. Ne pouvant être pourchassés à l’étranger où ils avaient trouvé refuge, ces émigrés virent leurs biens saisis et parfois vendus "nationalement" et leurs noms furent consignés dans des listes infamantes. Après la Terreur, la législation autorise leur retour en France à condition d’obtenir leur radiation de ces listes.
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1798 - Partage fait entre la République et la citoyenne Marie-Paule-Pélagie Livennes, ascendante d’émigrés
20 juin 2009, par PierreMarie-Paule-Pélagie de Livenne n’a pas choisi de devenir "partageante" avec la République : deux membres de sa famille sont considérés comme émigrés. Après inventaire complet des biens de la famille, l’Etat devient propriétaire de la partie des biens correspondant au nombre d’émigrés (ici, 2/7èmes).