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Hôpitaux, hospices et maladreries
Articles
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1723 - Généralité de la Rochelle - Enquête statistique sur les établissement religieux et hospitaliers
1er novembre 2012, par Pierre
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1292 & 1547 - Déclaration du Prieuré et de l’Hôpital Neuf de Pons (17)
13 juin 2010, par Pierre
Cet Hôpital Neuf, dit aussi Hôpital des Pèlerins, inscrit en 1988 au patrimoine mondial de l’UNESCO, est un lieu chargé d’histoire et de mémoire. La déclaration de 1547, qui reprend les items de celle de 1292, à quelques variantes près, est un document aussi exceptionnel que le bâtiment.
Au fil des paragraphes, nous découvrons une multitude de détails sur le fonctionnement de l’hôpital, sur ses ressources, son personnel, ses problèmes matériels, des faits divers, etc.
Un document à ne manquer sous aucun prétexte.
En complément, un glossaire et un diaporama sur l’Hôpital Neuf de Pons
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1697 - Saint-Jean-d’Angély : l’hôpital et la concentration des petits établissements de santé
12 mai 2010, par Pierre
Le premier hôpital connu de Saint-Jean d’Angély a été fondé en 1379. C’était l’hôpital ou aumônerie des Lusseaux. Un second hôpital, Notre-Dame des Halles est né en 1429. Tous les deux étaient gérés par l’administration de la ville. Ils ont fusionné en 1603. Après le siège de 1621 avec la perte des privilèges des élus, cette administration revient aux représentants du pouvoir royal. En 1677, les congrégations religieuses, qui tiennent le haut du pavé, s’en emparent, et c’est l’évêque qui nomme désormais les responsables de l’établissement. Pour en assurer la rentabilité, une tentative de concentration avec fermeture des petites aumôneries locales au profit de l’établissement de Saint-Jean d’Angély est décrétée par le pouvoir royal.
Relisez votre quotidien favori. Vous trouverez que l’actualité de 1697 ne vous fait pas faire un grand saut dans l’inconnu !
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1720 - Etat de l’hôpital de Barbezieux (Charente)
12 novembre 2012, par Pierre
La misère des hôpitaux ruraux est un sujet d’actualité en ce début du XVIIIe siècle. Les usages charitables se sont perdus, l’inflation galope, et le trésor royal est au plus mal.
A Barbezieux, nous faisons une visite des lieux, avant de parler argent. Monsieur l’Intendant, un petit effort financier serait le bienvenu, pour pouvoir accueillir ici davantage de pauvres malades.
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1723 - L’hôpital de Brouage (Charente-Maritime)
9 novembre 2012, par Pierre
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1723 - L’hôpital de Tonnay-Charente (Charente-Maritime)
7 novembre 2012, par Pierre
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1723 - L’hôpital Saint-Jacques de Cognac (Charente)
6 novembre 2012, par Pierre
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1729 - Mémoires sur l’hôpital Saint Jacques de Cognac (Charente)
10 novembre 2012, par Pierre
En 1729, l’hôpital, situé dans le faubourg St Jacques de Cognac, est l’objet de rivalités entre le corps de ville (le maire Menet et les échevins), le curé du faubourg, et l’administration centrale (le lieutenant général Fé et le procureur du Roi).
Plusieurs mémoires sont adressés à l’Intendant de la Généralité de La Rochelle pour lui rendre compte de la situation. Ils nous permettent de visiter l’établissement. Avec quelques subventions et travaux, il pourrait devenir un hôpital digne de ce nom.
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1754 - Le seigneur d’Ecoyeux fonde un lit à l’hôpital de Saintes (17)
15 juin 2009, par Pierre
L’hôpital faisait partie des "œuvres sociales" des seigneurs. L’expression n’existait pas au XVIIIe siècle, mais le concept, oui. Cela permettait d’assurer un service aux plus démunis des habitants des châtellenies où le seigneur avait fait cette démarche. Le système reposait sur la bonne volonté seigneuriale et l’action caritative. La notion de santé publique reste à inventer.
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1777 - Saint-Jean d’Angély : Règlement pour les soldats convalescents à l’hôpital
8 juillet 2010, par Pierre
Quand les hôpitaux des villes de garnison (ici, celui de La Rochelle) débordent de soldats malades ou blessés, ils font appel aux hôpitaux de l’intérieur. Cela nous vaut un intéressant règlement pour leur "annexe" de Saint-Jean d’Angély qui accueille des soldats convalescents. Une population sous surveillance, car les soldats sont réputés pour leurs mauvaises habitudes.