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Ephémérides météorologiques, astronomiques et sismiques - 4/6 - 17ème siècle

jeudi 12 avril 2007, par Pierre, 3438 visites.

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Source : Ephémérides météorologiques et sismiques de la Charente-Inférieure, par M. BITEAU - Bull. de la Société de géographie de Rochefort - T XVI - 1894

16ème siècle 18ème siècle

Tous les témoignages, documents d’archives, images et récits qui pourraient utilement compléter cette page seront les bienvenus. Les lecteurs de demain vous en remercient par avance.

Pour symboliser ces événements, nous utilisons la signalétique suivante :

Tempête Tremblement de terre Phenomène étrange Froid extrême Comète
Grêle Sécheresse Inondation Eruption volcanique
AnnéeTypeDescription - Commentaire
1600 Le 16 juin 1600, à trois heures de l’après-midi, la terre tressaillit de nouveau [1].
1601 Dans la nuit du 7 au 8 septembre 1601, le froid fut si vif que les vignes gelèrent ; les raisins furent flétris et la moitié de la récolte perdue, ce qui, jusqu’alors, ne s’était jamais vu [2].
1604 Sur les dix à onze heures du matin, le 10 juillet 1604, est tombée sur la ville de La Rochelle et quelque peu autour d’icelle une telle abondance de gresle et si grosse que de mémoire d’homme ne s’en estoit veu telle : il y en fust veu grosse comme un bal de paulme et comme le poing [3].
1605 Le 28 juillet 1605, un tremblement de terre se fit sentir, et, le 24 août de la même année, c’est-à-dire moins d’un mois après, ce même phénomène se reproduisit. Voici en quels termes Merlin raconte ce dernier : « Le 24 août 1605, au soir, ainsi que ma femme et moi estions à souper chez ma mère, ainsi que nous achevions, à sept heures du soir, il se fit un grand tremblement de terre en cette ville ; j’estimois que la maison debvoit tomber sur nous, ayant été, par trois fois, soulevés de dessus les sièges où nous estions assis [4]. »
1606 Le 11 octobre 1606, il y eut encore un tremblement de terre sur les cinq heures du soir [5].
1607 En 1607, il parut une comète très brillante.
1608 l’hiver de 1608, un des plus rigoureux connus.
1619 Le 11 août 1619, nouveau tremblement de terre.
1622 Le 31 octobre 1622, il s’éleva une tempête violente, qui dura huit jours. Elle fut si furieuse que le duc de Guise, amiral de l’escadre royale, ne, put atteindre l’escadre rochelaise que le 6 novembre, lorsque la tempête eut cessé. L’escadre rochelaise était alors à l’ancre dans la Fosse-de-Loix (île de Ré) [6].
1627 Vers le 23 août 1627, il s’éleva, la nuit, une tempête mêlée d’orage et si violente, qu’elle engloutit un radeau supportant huit canons, que les Anglais avaient placé devant la citadelle de Saint-Martin (île de Ré) [7].
La Hoguette écrit de Brouage, à la date du 30 janvier 1627. « Les pluyes ont fait trois bresches à nos murailles à passer huit hommes de front, que le froid empesche de réparer, et je crois que le dégel fera tomber le reste. »
1627 Il y eut aussi une tempête vers la fin de novembre ou le commencement de décembre 1627, car La Hoguette écrit, le 3 décembre de cette année :
« De Brouage je passey en Oleron, où je m’embarquey avec le grand secours pour Rhé, le mauvais temps nous rejeta en Brouage, d’où une partie de notre flotte retourna à Oleron, et l’autre qui en estoit la plus grande se retira dans la Charente [8]. »
1628 Le 6 janvier 1628, il survint une horrible tempête qui, à la grande joie des Rochelais, renversa une partie de la digue construite par Richelieu et jeta à la côte trois vaisseaux du roi, dont l’un fut brisé et mis en pièces devant le fort Louis [9].
1628 Le 5 février 1628, fut un jour d’anxieuses espérances pour les Rochelais, assiégés, qui purent croire, pendant quelques jours, que le ciel s’était prononcé en leur faveur. Dès le matin, la mer, soulevée par un vent violent du sud-ouest, jeta sur la côte, depuis la tour de la Chaîne jusque vis-à-vis le fort Louis, une grande quantité de mâts et de barriques arrachés à la palissade qui fermait le passage de la digue. La tempête se déchaîna avec plus de fureur encore dans la soirée, à la marée montante, si bien que les navires maçonnés, enfoncés dans le chenal, en furent ébranlés sur leur base et dérangés de leur position, et fust faite une grande et spacieuse ouverture par le milieu de la dite palissade à passer plus de six navires de front, de sorte qu’il y avoit apparence que si le vent fust tout à fait sud-ouest ce grand et long travail s’en fust allé tout à fait à vau-l’eau. (Mervault). Voici les réflexions de Jourdan au sujet de ce coup de vent et de la position des Rochelais : « Et la mer, d’où pouvait seulement venir du secours aux Rochelais et leur arriver des vivres, eût été libre... et la famine eût été conjurée... et les vaisseaux anglais venus pour secourir la ville n’eussent pas trouvé un obstacle insurmontable dans cette muraille de pierre, et La Rochelle eût pu être sauvée et le parti protestant n’eût pas été écrasé sous les pieds du cardinal-roi, et... qui sait quelles conséquences immenses pouvait avoir ce simple change- ment d’aire de vent ? Mais La Rochelle était destinée à périr ! La tempête se calma et la persévérante et infatigable activité de Richelieu eût bientôt réparé les dégâts. » [10]
1628 Le 29 juillet 1628. Jour gros d’eau, le vent s’étant rendu très fort et véhément, se mit à souiller de tourmente, de sorte qu’il rompit en une marée la plupart des ponts faits à l’estacade, démonta plusieurs des machines et raza près de la moitié de la digue de pierre, notamment du côté du fort Louis ; tellement que les barques passoient parce dessus... ce qui rejouit grandement la ville et la fit bien espérer, et que delà en avant de pareilles tourmentes et mauvais temps en déferaient plus en une marée qu’on en pourroit refaire en plusieurs mois. (Mervault).
1628 Pendant un violent orage, qui éclata dans la nuit du 20 au 21 août 1628, quelques-uns dirent avoir vu, vers la mer, comme des hommes se choquans et combattans les uns contre les autres, et le bruit courut par la ville que, sur l’heure de minuit, il étoit apparu au ciel, à l’endroit de la digue où, après un grand combat, il s’était fait une ouverture qui donna passage aux navires. Les sages n’y ajoutoient pas grand foy ; seulement le pauvre peuple s’en repaissoit. (Mervault).
La Hoguette écrit à la même époque : Il est venu une nouvelle que la tourmente avoit séparé l’armée anglaise qui étoit en mer, qu’une partie avait relasché à Plaimutz, d’où elle estoit sortie, et l’autre en Irlande.
1628 Les Rochelais voyaient toujours dans les phénomènes célestes quelque avertissement de Dieu, auquel le désir de connaître l’avenir donnait un sens favorable ou funeste, selon les espérances ou les craintes qu’ils avaient. Dans la nuit du 21 au 22 septembre 1628, fust aperçu par ceux qui estaient en garde un météore de feux en l’air, ressemblant à une poignée de verges, qui dura environ une heure, resplandissant dans la nuit, qui estoit obscure... Plusieurs appréhendèrent que cette comète fust pour eux comme celle de 1619.... ; depuis lequel temps ils avoient souffert beaucoup de maux et de rechustes, tant qu’il leur sembloit qu’ils étaient au lit de mort, si Dieu ne les recevoit à mercy. (Mervault).
1628 Au dernier siège de La Rochelle, la reddition de cette place, qui eut lieu en fin d’octobre 1628, frappa les habitants d’une stupeur superstitieuse ; quelques-uns même y virent moins le résultat naturel des habiles mesures du cardinal, qu’un effet miraculeux de la protection divine. Il parut visiblement, dit un contemporain, que le ciel se déclarait en faveur des armes du roi. Il y avait quelque chose d’étonnant à voir que le temps fût si beau dans une saison où l’orage et la mer avaient habitude de faire trembler La Rochelle. [11]
1628 Le 6, le 7 et le 8 novembre 1628, il fit un si grand vent de sud-ouest et avec une telle violence que la digue s’écroula en plusieurs endroits et surtout du côté du Port-Neuf ; les machines et les chandeliers furent brisés et ôtés de leur lieu : de sorte qu’un navire flamand, du port de 200 tonneaux, qui était chargé de vivres pour le ravitaillement de la ville et qui était demeuré au Chef-de-Baye, étant poussé par l’impétuosité de la tourmente vint donner sur les vases de l’avant-port, ayant passé avec bien peu de difficulté pardessus la digue... Si cela eût arrivé huit ou douze jours avant, la ville eût été ravitaillée [12]. La tourmente était tellement forte que cinq ou six vaisseaux s’échouèrent sur la côte d’Angoulins.
1628 Le 11 du même mois s’est perdue à la digue, par le mauvais temps, la barque de Gabiou, de Marennes. En icelle y avoit un grand nombre d’hommes et de femmes, avec quantité de vivres et provisions et ont esté noyés plus de quarante, tant hommes que femmes. (Guillaudeau).
1642 Le 3 janvier 1642, une violente tempête, qui dura plusieurs jours, jeta à la côte de Tasdon, un gros corsaire algérien, monté par 140 Turcs et 25 chrétiens. Les hommes furent envoyés aux galères et le vaisseau servit de magasin pour l’armée navale du roi. [13]
1645 Le 29 janvier 1645, il se fit une tourmente épouvantable, qui jeta à la côte trente ou trente-cinq navires, la plupart anglais. L’un d’eux, de 200 tonneaux, fut porté jusqu’au pied d’un moulin à vent, situé sur un tertre élevé de douze pieds au-dessus du niveau de la mer. A l’île de Ré, la mer traversa de l’un à l’autre côté de l’île, et, sur le continent, elle fit irruption, en plusieurs endroits, jusqu’à une lieue dans les terres. [14]

Autre source, dans le journal de Samuel Robert (Archives Historiques de Saintonge et d’Aunis - tome XI - année 1883)

1645. Horrible tempeste. Misères de la province. — La nuit du sapmedy venant au dimanche, 29 janvier 1645, s’est passé une si horrible et espouvantable tempeste que de mémoyre d’homme il ne s’en est oùy parler d’une semblable, ayant emporté une partie du plomb de la couverture du cloché de Sainct-Pierre de cette ville, descouvert plusieurs maisons et getté par terre plusieurs cheminées, et à la campa­gne descouvert plusieurs chasteaux et maisons nobles, desraciné et rompu nombre d’arbres et moulins. Chose inoûye que la mer a esté tellement agitée et esmeùe, que ses flotz ont emporté des bourgs entiers, quanthité de maisons, tant à La Rochelle, Ré, Olleron, Arvert, Marennes, Nieulle, Tallemont, Sainct-Seurin, Sauljon, Sainct-Jehan Dangles et autres lieux dans les isles, où les grandes bourasques et coups de vants ont emporté plusieurs navires et barques sur les marais et autres lieux plus eslevés et eslongnés de la mer où ils ont demeuré eschoués, rompus et fracassés au nombre de 36, y ayant noyé et perdu quantité de bestail ; mesmement par ses flotz emporté plus des trois quartz du sel qui estoyt sur les bossis de tous ces marais en grand nombre ceste année, gasté et perdu tous les semés qui estoyent sur iceux, ensemble toutes les vignes et prés desdites contrées, par le moyen de l’eau sallée. Chose encore plus espouvantable, qu’en costes de Chédebois et La Rochelle, on a emporté les hommes noyés à chartées, que la mer y avoyt getté. Estant arrivé plusieurs autres dégatz dont la perte est la ruyne entière de plusieurs familhes et innévitable à ceste province, considéré le piteux et misérable estat auquel elle est réduite parle nombre infiny de mangeries malheureuses qui s’y pratiquent et invantent journellement, ayant l’année dernière esté commise et abandonnée à l’insolance du soldat de l’armée du mareschal d’Aumont qu’on y avoyt envoyé contre la noblesse, et à présant et pour comble de malheur mis le régiment de Brezé en garnison en ceste ville. Tout cela estant de véritables marques que Dieu n’est peu irrité contre nous par les péchés ausquelz tout l’estat est plongé, qui attirent encore sur nos testes de plus rudes chastimens.
Desquels je prie Dieu nous vouloyr, par son incompréhensible miséricorde, garantyr et faire que nous retirant de nos péchés, il retire aussy ses verges de dessus nous, au nom et par le mérite de Jésus-Christ, son filz unique, nostre segneur.
1648 Nous lisons dans le journal de Samuel Robert : Le 30 juillet, au dit an 1648, entre les huict et neuf heures du soyr, il s’est fait un tremblement de terre, et a commencé par un grand bruyement qui a continué tout le temps qu’il faut pour considérer telle chose. Dieu nous préserve de mauvois pronosticqz que les hommes en tirent, semblables à ceux qui sont arrivés depuis le dernier tremblement de terre arrivé le 16 février 1639, sur les onze heures du matin. [15]
1651 Le duc de la Rochefoucault fit de si grands progrès en peu de jours que la Noblesse & les Habitants de Coignac, peu aguerris, étoient sur le point de se rendre. Condé, qui s’étoit rendu au camp avec un renfort de 1500 hommes, alloit jouir de la victoire, lorsqu’il en fut privé par un événement imprévu. La Charente déborda la nuit même de son arrivée & entraîna les Ponts qui communiquoient d’un bord à l’autre de la rivière. A cette nouvelle, Harcourt, qui n’étoit plus qu’à quelques lieues, force sa marche, tombe sur le quartier posté au-delà de la Charente, prend ou tue tout ce qu’il y avoit dans ce poste, sans que le Prince, spectateur du combat de l’autre rive, pût en sauver un seul soldat. La perte monta à cinq cents hommes.

Ce désastre l’obligea de lever le siège ; il alla camper à Tonai-Charente, à quelques lieues de là, d’où il arrêta longtemps tous les efforts d’Harcourt.
Pendant ce temps-là le marquis d’Estissac, oncle du duc de la Rochefoucault, se présentoit devant la Rochelle ; il avoit obtenu la dépouille de Doignon, mais il falloit la lui arracher. Les Habitants de la Rochelle, las de la tyrannie du Comte, lui ouvrent leurs portes.

Histoire de Louis de Bourbon, second du nom, prince de Condé, premier prince du sang, surnommé le Grand ornée de plans de sièges et de batailles - Joseph-Louis-Ripault Désormeaux – Paris – 1768 – Books Google
1657 Depuis cinq semaines, il s’est fait une si extraordinaire inondation dans les Provinces du Poitou, Aunis & Saintonge que plusieurs maisons de la Campagne en ont esté entraînées. & presque tous les bleds submergez : le mal s’estant trouvé beaucoup plus grand dans les Marais qu’on avoit desséchez, où tous ceux qui s’y estoyent retirez dans des cabanes, sont morts avec leurs bestiaux : & ce qui est un spectacle des plus tristes & des plus funestes, on ne void de tous costez sur les rivages que des corps de ceux qui sont péris dans ce déluge, mesmes quantité d’enfans dans leurs berceaux, comme en des monumens flotans sur ces impitoyables eaux, qui passent par-dessus les levées, à la hauteur de cinq pieds. [16]
1669 Grande sécheresse et grand froid pendant quinze jours, en sorte que le grand canal de la Charente était si fort glacé qu’on le passait partout à pied et à cheval ; la jeunesse de Bassac dansait et jouait aux quilles sur le bras de la Charente.

Manuscrit du prieur de l’Abbaye de Bassac – dans Bull. et Mémoires de la Sté Archéologique et Historique de Charente 1878-1879

1679 Grande abondance de vin qu’on a eu peine à ramasser à cause des pluyes ; le vin n’avait pas de force et s’est tourné la plus grande partie. La barrique de vin blanc se donnait pour quarante sols et celle d’eau-de-vie valait vingt livres.

Manuscrit du prieur de l’Abbaye de Bassac – dans Bull. et Mémoires de la Sté Archéologique et Historique de Charente 1878-1879

1692
L’an 1692 au mois de juin la nuit de la Saint Jean Baptiste arriva une pluye qui continua presque tout un mois ce qui causa dans le même temps qu’elle commença un si grand débordement d’eaux que toutes les palus furent submergées de telle sorte qu’on croyait que les blés qu’on n’avait pas encore commencé de couper seraient perdus absolument mais par la grace de dieu ces eaux s’étant doucement écoulées à moins de 24 heures ils n’eurent aucun mal.

En octobre la nuit du 11 il y eut une gelée si rude que toutes les vignes couvertes encore de leurs fruits qui n’étaient pas mûrs en raison de pluyes continues ….en furent si mal traitées que le raisin feut tout à fait grillé ce qui fut cause qu’il y eut cette année très peu de vin dans toute la Guyenne. L’année suivante la disette du blé et du vin fut générale ….en plusieurs paroisses de ce pays qui ruinèrent tout à fait les gens qu’il ne fut recueillit à la disme que 4 tonneaux et demy de vin.

Source : Notes de Pierre Bergerie, curé de Saint-Martin-du-Bois (33) aimablement communiquées par Françoise Gaudechon.
1694 une série de longues et dures gelées. Sources à trouver
1698 Le 16 mai 1698, la gelée acheva de perdre le peu qui restait dans, les vignes, déjà gravement atteintes par les gelées des 3, 9 et 10 du même mois. Les noyers, les seigles et orges, qui étoient en fleurs, gelèrent aussi. Bref, de mémoire d’homme, il ne s’étoit vu une si grande perte. (Maudet).
1699 Procession. — Le jeudi 30 de juillet 1699, par ordre de Monsieur l’evesque [de Saintes] et de Messieurs du chapitre il s’est fait, an cette ville, une procession généralle, sur les sept heures du matin et à laquelle les penitans ont asisté, pour obtenir de Dieu de la pluie. On y a porté le chef de nostre illustre grand Saint Hutrope. C’est Mr Panis et Mr Aranaud [17] qui ont heu ce bonheur.

Journal de Michel Réveillaud - Archives Historiques de Saintonge et d’Aunis - T XXXXV - Année 1914


[1Jourdan. Ephémérides historiques de La Rochelle, t. I, p. 202 (Merlin).

[2Jourdan. Ephémérides historiques de La Rochelle, t. I, p. 323 (Colin),

[3Jourdan. Ephémérides historiques de La Rochelle, t. I. p. 193 (Guillaudeau).

[4Diaire de Jacques Merlin (1589-1620), publié par M. Charles Dangibaud (Archives historiques de la Saintonge et de l’Aunis, V).

[5Jacques Merlin.

[6Mémoire du cardinal de Richelieu, liv. XIII.

[7Massiou. Histoire de la Saintonge et de l’Aunis.

[8Lettres de Philippe Fortin de la Hoguette, publiées par Philippe Tamizey de Larroque (Archives de la Saintonge et l’Aunis).

[9Jourdan. Ephémérides historiques de La Rochelle, t. I, p. 4 (Mervault).

[10Jourdan. Ephémérides historiques de La Rochelle, t. II, p. 51.

[11Massiou. Histoire de la-Saintonge et de l’Aunis t. v, p. 439.

[12Jourdan. Ephémérides historiques de La Rochelle, t. I, p. 425 (Mervault).

[13Jourdan. Ephémérides historiques de La Rochelle, t I, p. 3.

[14Lettre d’un négociant, insérée dans le recueil des recherches curieuses.

[15Journal de Samuel Robert (1639 à 1668) publié par Gaston Tortat. (Archives historiques de Saintonge et d’Aunis, XI).

[16Gazette n°154 du 8 décembre 1657

[17Il faut lire Arnaud. Il y avait parmi les prêtres du bas chœur un Sébastien Panis.

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