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Templiers et Hospitaliers dans les diocèses de Saintes et d’Angoulême - Inventaire et carte
jeudi 6 septembre 2007, par , 13829 visites.
56 établissements (commanderies et maisons) identifiés dans les diocèses de Saintes et d’Angoulême, réputés d’origine templière ou hospitalière. (nota : "réputé" ne signifie pas "avéré")
Carte - Chronologie - Inventaire, notices, photos, sources, liens vers des archives en ligne
Sources :
La commanderie du Breuil-du-Pas et la guerre de Cent Ans dans la Saintonge méridionale - Robert Favreau - Université francophone d’été Saintonge Québec - Jonzac 1986
Les commanderies des Templiers et des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem en Saintonge et en Aunis - Anne-Marie Legras – Editions du CNRS - 1983|- Statistique monumentale de la Charente - Abbé Michon.
Le procès des Templiers - Michelet - 1841
AHSA
A.D. du Maine-et-Loire
Pouillé du diocèse d’Angoulême - Abbé Nanglard
Carte des établissements
- Sceau (en plomb) du pape Pascal II, sur une transaction datée de 1117 entre le prieuré de Tusson (16) et l’abbaye de Nanteuil (16)
- Ø 30mm - Photo : P. Collenot - A.D. du Maine-et-Loire, cote 226 H9 62
Chronologie succincte de l’histoire des Templiers et des Hospitaliers
1113, bulle du pape Pascal II, acte fondateur des Hospitaliers de St Jean de Jérusalem.
1118-1119, création des Templiers.
1128, un concile, à Troyes, donne aux Templiers une règle inspirée par saint Bernard.
1291, prise de Saint-Jean-d’Acre et perte de la Terre Sainte. Templiers et Hospitaliers se replient à Chypre où ils reçoivent l’asile des Lusignan.
1307, Philippe le Bel demande au pape Clément V de faire enquête sur les Templiers, accusés des pires turpitudes. Le 13 octobre 1307, il fait emprisonner tous les Templiers et séquestre leurs biens. Le procès des Templiers commence.
1312, un concile réuni à Vienne (France), prononce la dissolution de l’ordre du Temple. Tous leurs biens sont attribués aux Hospitaliers.
1373, le pape Grégoire XI ordonne une enquête sur les établissements de l’Hôpital, leurs ressources, leurs charges, leurs effectifs, dans tous les diocèses de la Chrétienté occidentale. Le rapport sur le diocèse de Saintes est un des rares encore disponibles.
1530, Charles Quint donne l’île de Malte à l’ordre des Hospitaliers, qui devient Ordre de Malte.
1789, les biens de l’Ordre de Malte sont confisqués.
1800, l’ile de Malte est prise par les Anglais. Fin de l’existence de l’Ordre de Malte dans sa forme originelle.
Les rattachements indiqués dans le tableau ci-dessous sont ceux donnés par l’enquête du pape Grégoire XI en 1373 et, plus tard par les visites prieurales des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles.
Inventaire des établissements templiers et hospitaliers dans les diocèses de Saintes et d’Angoulême
(*) La nature "Incertaine" signifie que les sources ne permettent pas de déterminer avec certitude la date de création de l’établissement, avant ou après l’abolition de l’ordre du Temple (bulle Vox in excelso, du 3 avril 1312). Avant cette date, ce pourrait être un établissement du Temple, ou des Hospitaliers de St Jean de Jérusalem.. Après, ce serait un établissement des Hospitaliers.
Nom | Commune | Type d’étabt. (*) | Dates | Commentaire |
Charente |
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Angoulême | 16 Angoulême | Maison | Maison appelée "Le Temple", près du château comtal. Rattachée à la commanderie de Villegats après la chute de l’Ordre, puis à la commanderie de Beauvais-sur-Matha - Document : 1588 - Temple de l’Ordre de St-Jean de Jérusalem à Angoulême : estimation de sa valeur | |
Aubeterre | Pouillé abbé Nanglard | |||
Aunac | Pouillé abbé Nanglard | |||
Auvignac (Le Vignac ?) | 16 Barbezieux-Saint-Hilaire | Maison templière | 19 juillet 1771 — Aveu et dénombrement du marquisat de Barbezieux rendu au roi par Louise-Elisabeth de La Rochefoucauld, veuve de Jean-Baptiste-Louis-Frédéric de La Rochefoucauld, duc d’Enville. (AHSA 1887, p. 339) "Fiefs ecclésiastiques. — Les fiefs ecclésiastiques et les domaines et droits possédés par les gens de main morte qui sont situés au dedans de ladite châtellenie de Barbezieux ou dans les dépendances d’icelle, desquels ils sont tenus de fournir et vérifier sur le local les dénombrements ou déclarations, sont : ... La commanderie d’Auvignac et de Viville qui comprend l’église et le cimetière de la paroisse d’Auvignac, et à laquelle sont dûs plusieurs articles de rente noble emportant profit de fief sur différents domaines situés tant en ladite paroisse d’Auvignac qu’en celles de Saint-Medard, Condéon et Berneuil." | |
Barbezières | 16 Barbezières | Temple | ||
Boutiers | 16 Boutiers-Saint-Trojan | Etablissement du diocèse d’Angoulême | Le bourg de Boutiers, situé sur une colline élevée dominant la vallée de la Charente, était le chef-lieu d’une commanderie de Templiers, avec une église d’architecture romane assez grandiose, partagée en deux travées, possédant un clocher en campanile du meilleur effet. Cette église, qui remontait au douzième siècle, a été malheureusement démolie vers 1855, à la suite d’un procès perdu par la commune. La terre de Boutiers avait été donnée à l’ordre du Temple par quelques riches familles du pays, qui avaient suivi à Jérusalem leurs suzerains les seigneurs de Cognac et les comtes d’Angoulême. ... La commanderie de St-Antoine de Boutiers releva plus tard de l’Ordre de Malte. Le 11 décembre 1399, Bernard, évêque de Saintes, s’étant présenté, monté sur une mule, pour visiter la commanderie, Guillaume de Franchiliens, commandeur, exigea qu’il déclarât qu’il venait, non en vertu d’un droit, mais seulement en pèlerinage pour honorer saint Antoine. Cette déclaration fut reçue par un notaire, en présence de Bernard de Cazelon, prieur de Saint-Léger de Cognac, et de Simonet de Vaucelles, capitaine du château de Merpins. La commanderie de Boutiers formait alors, avec les commanderies subalternes, la commanderie générale dite de la province de Limousin. Le 12 octobre 1616 fut parrain, dans l’église de Boutiers « honorable homme Philippe Desmarais, sieur de la Grave de Saint-Vivien, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, chevalier et commandeur de Saint-Antoine de Boutiers. » L’église de la commanderie servait aux habitants, qui s’y mariaient, y faisaient baptiser leurs enfants, et parfois demandaient à y être inhumés. M. Porchaire, propriétaire du domaine de Bel-Air, mort au mois de février 1704, y fut enterré, ainsi que plusieurs autres. Les registres de Boutiers commencent en l’année 1600 : peu de communes en possèdent d’aussi anciens. Après le procès communal qui s’est terminé en 1855, ces registres ont été déposés au greffe du tribunal civil. Paul de Lacroix - Les anciens châteaux des environs de Cognac - 1906 - Voir le texte complet de cet article | |
Chambon | Pouillé abbé Nanglard | |||
Châteaubernard | 16 Châteaubernard | Commanderie templière (1373) - Maison au 16e s | Archives 1307 - Procès des Templiers - Michelet - Minutes d’interrogatoire | |
Richemont | 16 Cherves-Richemont | Maison templière | Lieu-dit La Templerie (Commune de Saint-André ?) | |
Confolens | 16 Confolens | Etablissement du diocèse d’Angoulême | Pouillé abbé Nanglard | |
Le Dognon | 16 Cressac-Saint-Genis | Commanderie templière |
Archives | |
Remigon | 16 Fouqueure | Maison | ||
Guizengeard | 16 Guizengeard | Maison templière, puis antonine | Contrairement à la plupart des commanderies du Temple, elle passa aux Antonins (JM Auzanneau, op. cit.) | |
Le Deffend | 16 Le Tâtre | Commanderie templière | Archives 1307 - Procès des Templiers - Michelet - Minutes d’interrogatoire Etablissements dépendants de la commanderie du Deffend (enq. de 1373) : Viville, Auvignac, La Lande, Guizengeard | |
Le Fouilloux | 16 La Chapelle | Maison | Archives 1307 - Procès des Templiers - Michelet - Minutes d’interrogatoire Notice sur le Fouilloux dans Bulletins et Mémoires de la Société Archéologique et Historique de la Charente - Années 1878-79 - Pages 184-186 Au XIIe siècle, les chevaliers du Temple se bâtirent une maison au Fouilloux, sur l’emplacement d’une ancienne habitation gallo-romaine, dont on retrouve encore des vestiges. Cet établissement des Templiers est mentionné en 1171, à l’occasion d’un procès qu’ils eurent avec les religieux de Saint-Amant, au sujet de la dîme de certaines terres situées entre Le Fouilloux et Coulonges, et qui se termina par une transaction en vertu de laquelle les chevaliers conservèrent la dîme et durent payer une redevance annuelle de deux sous à l’abbaye [1]. Lorsque, en 1311, le concile de Vienne eut prononcé la suppression de l’ordre, la terre du Fouilloux passa, comme les autres biens des Templiers, aux chevaliers de l’Hôpital de Saint-Jean de Jérusalem. Le Fouilloux, devenu commanderie de Malte, fut rattaché à Beauvais-sur-Matha, l’une des quatre chambres priorales du grand prieuré d’Aquitaine. Cette commanderie se composait, au commencement du XVIIe siècle, d’un « beau et grand logis », de quelques journaux de bois, d’une importante métairie, d’un four à ban, de prés, des moulins de Bissac, de cens et rentes, et enfin du droit de pacage dans la « leigne » de Marcillac. Les immeubles des Hospitaliers, à cette époque, se reconnaissaient partout à leur mauvais état, qui venait de ce que, simples usufruitiers, ils en tiraient le plus qu’ils pouvaient et y dépensaient le moins possible. Une visite du Fouilloux, faite en 1645, constate que le logis noble, la maison du métayer se trouvaient dans un délabrement complet ; que les couvertures étaient en partie tombées, les portes absentes, les jardins en friche et les bois tout gâtés. Le commandeur, qui alors ne s’y tenait jamais, abandonnait l’immeuble à un fermier, et pas plus l’un que l’autre ne ménageait un domaine dont il n’avait que la jouissance. En 1609, un commandeur alla jusqu’à aliéner, avec la connivence de la Langue, 105 journaux de terre, qui furent, il est vrai, repris trente ans après. Une autre fois, c’est un fermier qui, durant quarante ans d’une jouissance sans surveillance, s’ingénie à acquérir des terres autour de celles de la commanderie, et ensuite, au moyen de la culture, déplace peu à peu les limites. Au milieu du XVIIe siècle, Le Fouilloux était affermé avec Le Temple de Boixe de 600 à 800 livres. Les deux domaines montèrent à 1,100 livres en 1731 et dépassaient 4,000 en 1788. L’église, bâtie par les Templiers, est un parallélogramme, dont l’abside plate, tournée au sud-est, présente les trois fenêtres symboliques ordinaires. Une moitié du monument a été détruite depuis quelques années, et l’autre réduite en grange. L’état de 1645 dit que déjà « la chapelle était grandement détériorée, la voûte par terre, sans autel, porte ne vitres, et au point qu’il ne se pouvait dire de messe. » En 1716, elle est réparée, mais encore dépourvue d’ornements. Le curé de la paroisse ayant demandé que la visite en fût faite par l’archiprêtre d’Ambérac, les Hospitaliers alléguèrent leurs privilèges, et il dut reconnaître par écrit que ni archiprêtre, ni évêque, ni archevêque n’avaient droit de visite dans les chapelles de l’ordre. Cela convenu, le commandeur le garda pour chapelain. Le service, du reste, n’était que d’une messe par semaine. Au chevet de l’église et à l’ouest se trouve un cimetière, qui n’était sans doute pas réservé aux chevaliers seulement, et où les corps reposent, avec un vase à leur côté, soit dans des auges, soit entre des pierres posées de champ. Le Fouilloux était compris dans la châtellenie de Marcillac. Le commandeur avait moyenne justice dans l’étendue de sa dîmerie, et basse justice sur ceux de ses hommes qui habitaient en dehors de la dîmerie. Il avait, par exception, une mesure à lui pour ses moulins, et les hommes de six des maisons du Fouilloux étaient exempts d’aller faire le guet au château de Marcillac [2]. Le moulin de Bizach, qui depuis fut une dépendance du Fouilloux, est mentionné vers 1118 [3]. | |
Les Essards | Pouillé abbé Nanglard | |||
Sallerit | 16 Lupsault | Maison | ||
Petit-Madieu | Pouillé abbé Nanglard | |||
Maine de Boixe | 16 Maine de Boixe | Etablissement du diocèse d’Angoulême | ||
Malandry | Pouillé abbé Nanglard | |||
Mélac | 16 Sauvignac | Maison templière | ||
Angles | 16 Salles-d’Angles | Maison templière | En 1645, M. de Tanzac, curé de St Fort-sur-le-Né est dit "prêtre de la commanderie d’Angles" - Bull. AHSA - 1884 - p. 24 | |
Suris | Pouillé abbé Nanglard | |||
Vestizon | Pouillé abbé Nanglard | |||
Villegats | Pouillé abbé Nanglard | |||
Viville | 16 Viville | Maison templière | voir Auvignac | |
Charente-Maritime | ||||
Beauvais-sur-Matha | 17 Beauvais-sur-Matha | Commanderie du Temple | Mention à partir de 1151 (dans un faux) | En raison de l’abondance des données recueillies sur cet établissement, une page spéciale lui est consacrée. Voir cette page |
Bourcelaine | 17 Beauvais-sur-Matha | Maison | orig. incert. | |
Chierzac | 17 Bedenac | Maison templière | ||
Bourgneuf | 17 Bourgneuf | Commanderie templière | Mention en 1242 | Etablissements dépendants de la commanderie de Bourgneuf :
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Bussac | 17 Bussac-Forêt | Commanderie orig. Hosp. incert. | Etablissements dépendants de la commanderie de Bussac (enq. de 1373) : Chepniers, Mélac, Lugéras | |
Lugéras | 17 Bussac-Forêt | Maison orig. incert. | ||
Sèchebouc | 17 Châtelaillon-Plage | Maison templière | Mention en 1560 | Le Bourg [d’Angoulins] n’a rien de remarquable. Au Sud-est & à 1100 toises de distance, on voit les ruines de la Commanderie de Séchebouc, dont frère Jean Pauveau étoit Commandeur en 1560, comme il appert par un contrat de vente. (Louis-Etienne Arcère in Histoire de la Rochelle et du Pays d’Aulnis.) |
Chepniers | 17 Chepniers | Maison des Hospitaliers | ||
Repose-Pucelle | 17 Clavette (?) | Maison templière | ||
Courant | 17 Courant | Commanderie des Hospitaliers | Etablissement dépendant de la commanderie de Courant (enq. de 1373) : Le Pont-de-Cessé | |
Lussac | 17 Jonzac | Maison orig. incert. | ||
La Rochelle | 17 La Rochelle | Commanderie des Hospitaliers | Etablissements dépendants de la commanderie de La Rochelle :
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St-Jean-du-Perrot | 17 La Rochelle | Commanderie templière | Mention en 1139 | En raison de l’abondance des données recueillies sur cet établissement, une page spéciale lui est consacrée. Voir cette page |
Les Eglises d’Argenteuil | 17 Les-Eglises-d’Argenteuil | Commanderie des Hospitaliers (1373), Maison au 16e s | ||
Péreault | 17 Longèves | Maison templière | ||
La Lande de Lorignac | 17 Lorignac | Maison orig. incert. | ||
Bernay | 17 Marans | Maison templière | Archives 1307 - Procès des Templiers - Michelet - Minutes d’interrogatoire | |
Beloire | 17 Meschers-sur-Gironde | Maison templière | ||
Les Epeaux | 17 Meursac | Commanderie templière | Archives
![]() ![]() ![]() "Le commandeur des Espaux tient la commanderie de Cuipsac en la baronnie de Mirambeau, qui luy vaut par an deux cent livre." Cuipsac est Civrac (voir ce mot dans la page) près Le Petit Niort. Etablissements dépendants de la commanderie des Epeaux ![]() ![]() Les commandeurs de l’établissement des Epeaux ![]() ![]() ![]() | |
Civrac | 17 Mirambeau | Commanderie templière | Archives 1307 - Procès des Templiers - Michelet - Minutes d’interrogatoire Etablissements dépendants de la commanderie de Civrac (enq. de 1373) : La Lande de Lorignac, Chierzac | |
Grandvaux | 17 Réaux | Maison orig. incert. | ||
Le Treuil-aux-Bœufs | 17 Saint-Christophe | Maison orig. inconnue | ||
Margot | 17 Saint-Cyr-du-Doret | Maison orig. incert. | ||
La Cabane | 17 Saint-Georges-du-Bois | Maison orig. incert. | ||
Goux | 17 Saint-Loup | Maison templière | ||
Le Mung | 17 Saint-Porchaire | Maison templière | ||
Villeneuve | 17 Saint-Romain-de-Benet | Maison templière | ||
Le Breuil-du-Pas | 17 Saujon | Commanderie présumée des Hospitaliers | Document d’archives :
![]() 2-1460 - La commanderie du Breuil-du-Pas (17 Saujon) contre le seigneur de Rioux (art597). Pendant la guerre de Cent Ans, le seigneur de Rioux n’a pas payé sa rente à la commanderie. Il a 40 années de retard, et espère qu’il y aura prescription. Arguments de l’un et des autres. | |
Thairé | 17 Thairé | Maison templière | Mention en 1297, 1300, 1302 | AD86 - 3H 1/295 |
Fontsèche | 17 Tonnay-Charente | Maison des Hospitaliers | Voir chartes du 13ème siècle concernant cet établissement | |
Deux-Sèvres |
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Le Pont de Cessé | 79 Frontenay-Rohan-Rohan | Maison orig. Hospit. Présumée |
(*) La nature "Incertaine" signifie que les sources ne permettent pas de déterminer avec certitude la date de création de l’établissement, avant ou après l’abolition de l’ordre du Temple (bulle Vox in excelso, du 3 avril 1312). Avant cette date, ce pourrait être un établissement du Temple, ou des Hospitaliers de St Jean de Jérusalem.. Après, ce serait un établissement des Hospitaliers.